Si las d'arpenter les murs de la forteresse vide Ces quelques paroles douces me paraissent infimes. A côté de l'effroyable détresse de l'âme Je hais ne pas pressentir l'arrivée d'un drame Je suis exposée au vent vulnérable flamme. Je te vois je n'te vois pas garde tes distances Le contact est si brûlant que je m'en dispense. Précieux et rares sanglots servent à purger l'âme J'irai demander de l'aide a mony elkaim. Laisserai passer la tempête qui ravage mon âme. Comme la flamme sous le vent tourbillonne et danse Le souffle qui m'a eteint et je m'en balance Va faire disparaitre les brûlures de mon âme Je les dissimule alors derrière le vacarme Les panses sans y penser, penser me désarme. J'essaye de me joindre au trouble passe temps d'un dieu Je m'acharne et prend pour cible le fond de tes yeux J'y vois souvent l'effroyable détresse de ton âme J'irai demander de l'aide a payanotis Je n'attiserais pas plus ma flamme d'autiste